Festival du cinéma algérien

A partir du jeudi 10 décembre,

L'univers, 19H

Jeudi 10 décembre:



Ouverture du festival
Films suivis d’un échange avec les réalisateurs
Les séances de 22h00 sont un focus sur les oeuvres cinématographiques du rélisateur Mahmoud Zemmouri
« Lounès Matoub, la voix d’un peuple » de Youcef Lalami (France, 2008, 50 min)
Assassiné en 1998, Matoub continue de défrayer la chronique enKabylie, mais aussi dans une grande capitale : Paris.



Lundi 14 décembre:



« Un toit, une famille » de Rabah Laradji (Algérie, 1982, 110 min)
Selim est obnubilé par l’appartement exigu qu’il partage avectoute sa famille. Lorsqu’on lui trouve une « fiancée », le problèmedevient crucial !


« De Hollywood à Tamanrasset » de Mahmoud Zemmouri (France/Algérie, 1990, 95 min)Près d’Alger, des habitants se prennent pour les héros de leurs séries.Ainsi, JR, Sue Ellen et autre Colombo prennent possession des corpset des esprits pour se lancer à la poursuite du crime...

Mercredi 16 décembre:



« Tiphinar » de Hicham Lasri (Maroc, 2006, 88 min)
Hicham, jeune archéologue, est confronté à sa schizophrénie dansun village hanté par son passé. Leila, jeune journaliste, cherche adécouvrir avec lui le mystère qui se cache derrière une légende.
« Les folles années du Twist » de Mahmoud Zemmouri (France/Algérie, 1986, 86 min)
Dans un petit village d’Algérie, pendant la guerre d’indépendance,2 adolescents, Salah et Boualem, pensent plus à s’amuser qu’àmontrer quelques signes d’engagement. Ce n’est qu’en décembre1960 que Salem saura,se mettre du côté des vainqueurs del’Indépendance de son pays.


Jeudi 17 décembre


« Khochkhach » de Selma Baccar (Tunisie, 2005, 107 min)
Suite à un accouchement douloureux, une jeune femme devientdépendante à la plante de Khochkhach que sa mère lui administrapour calmer ses douleurs d’après-couche.


« Prend 1000 balles et casse-toi » de Mahmoud Zemmouri (1981,...)
Une famille d’immigrés algériens retourne au pays, acceptant l’offredu gouvernement français. Les enfants Fifi et Mustapha ne parlentpas l’arabe et sont «occidentalisés» des pieds à la tête...Au village,ça ne passe pas...


Vendredi 18 Décembre


« Tamazirte Oufella » de Mohamed Mernich (Maroc, 2008, 100 min)
Un village isolé. Pour s’ouvrir sur le monde, les villageois demandentaux autorités de construire des routes, en vain. Ali ramène l’espoir,car il vient de gagner au loto.

« 100% Arabica »de Mahmoud Zemmouri (France/ Algérie, 1997, 85 min)
Un maire passe un marché avec 2 imams qui promettent defaire régner l’ordre jusqu’aux élections en recrutant les jeunesdu quartier...


A bientôt,
NOP: le Blog

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